Expositions

1987 : Premiers pas sur la scène artistique

Galerie Maeght, Paris, France
Exposition : « Nouveaux Talents »
Dates : 15 mai – 30 juin 1987

1990 : Une première exposition personnelle

Galerie Daniel Templon, Paris, France
Exposition : « Mains de l’Ombre »
Dates : 10 septembre – 20 octobre 1990

1993 : Consécration au Centre Pompidou

Centre Pompidou, Paris, France
Exposition : « Les Mains de l’Absence »
Dates : 5 mai – 15 août 1993

1995 : Une exposition à l’international

Gagosian Gallery, New York, États-Unis
Exposition : « Hands of Solitude »
Dates : 20 mars – 30 avril 1995

1998 : Réflexion après un deuil

Galerie Georges-Philippe et Nathalie Vallois, Paris, France
Exposition : « Mains de la Mémoire »
Dates : 12 novembre – 20 décembre 1998

2001 : Triomphe à la Biennale de Venise

Biennale de Venise, Italie
Exposition : « Les Mains de la Lumière »
Dates : 6 juin – 4 novembre 2001

2004 : Une exposition au Japon

Mori Art Museum, Tokyo, Japon
Exposition : « Hands of Eternity »
Dates : 15 février – 30 mars 2004

2008 : Retour à Paris

Galerie Perrotin, Paris, France
Exposition : « Mains du Passé »
Dates : 10 octobre – 15 novembre 2008

2015 : Un projet monumental

La Chapelle de Clairefontaine-en-Yvelines, France
Exposition permanente : « Les Mains du Temps »
Dates : Inauguration le 20 mai 2015

2019 : Une dernière exposition avant la maladie

Tate Modern, Londres, Royaume-Uni
Exposition : « Hands of Resilience »
Dates : 5 mars – 25 mai 2019

2022 : Une rétrospective posthume

Musée d’Art Moderne de Paris, France
Exposition : « Richard Bouvier : Les Mains Éternelles »
Dates : 10 janvier – 30 avril 2022

2025 : Un hommage posthume à La Chapelle de Clairefontaine

La Chapelle de Clairefontaine-en-Yvelines, France
Exposition : « Deux mains pour un adieu »
Date : 18 mai 2025
En hommage à un artiste qui a marqué l’histoire du centre d’art, La Chapelle a obtenu d’Émilie Bouvier-Oru, la fille de l’artiste, le droit exclusif d’exposer la dernière sculpture de son père, Deux mains pour un adieu, réalisée en bronze quelques jours avant son hospitalisation. Cette œuvre est considérée par certains critiques comme l’une de ses plus marquantes, « un testament de chair et de métal, saisissant l’éternité dans une ultime étreinte ».